Vincent
Lannoo

Ce réalisateur débute sa carrière, comme tant d’autres, à travers différents courts-métrages. En 1998, son court « J’adore le cinéma » remporte l’Iris d’Or et l’Etoile d’Argent du meilleur court métrage européen au Festival International du Film de Bruxelles. Deux récompenses prestigieuses qui ne feront qu’accroître le sentiment de la critique à l’égard du réalisateur.

En 2001, il réalise un long-métrage sous forme d’un faux documentaire « Strass » avec Pierre Lekeux. Ce film représente un des rares projets belges relevant du style Dogme, qui use et abuse d’effets spéciaux. C’est sans doute avec ce film que la carrière de Vincent Lannoo va prendre un tournant décisif. Notons également, « les âmes de papier » ou encore, Ordinary Man qui suit la vie d’un père de famille bien sous tous rapport et qui, un jour, tue un homme dans un accès de rage. Avec plusieurs cordes à son arc, on peut également le retrouver derrière le docu-fiction « Vampires », tourné avec Julien Doré, prenant pour sujet une communauté de vampires belges.